Entrepreneurs du Commun réunit des artistes, historiens de l’art, commissaires, philosophes et chercheurs avec l’objectif d’ouvrir un espace de réflexion et d’expérimentation sur l’hantologie monumentale et les spectres de la liberté.
Jérôme Delgado, « L’espoir dans la relève, la honte en art public », Le Devoir, Décembre 31, 2015. URL
Valérie Lessard, « Du «beau»me pour l’âme », Le Droit, Décembre 25, 2015. URL
Jérôme Delgado, « Tous contre le monument » , Le Devoir, Octobre 10, 2015. URL
Valérie Lessard, « Revoir le communisme », Le Droit, Octobre 3, 2015. URL
Valérie Lessard, « Art manifeste, expressions de libertés », Le Droit, Octobre 3, 2015. URL
Peter Simpson, « Communism memorial pilloried by artists in new show », Ottawa Citizen, Septembre 14, 2015. URL
Marie-Ève Charron, « Le contre-monument qui viendra hanter Harper. Un collectif riposte contre la récupération des mémoriaux avec un monument dédié aux victimes de la liberté », Le Devoir, November 12, 2014. URL
***
Laurence Garneau travaille comme médiatrice culturelle à la Salle Alfred-Pellan (Maison des arts de Laval) et est candidate à la maîtrise en histoire de l’art à l’Université du Québec à Montréal. Ses recherches portent sur la philosophie esthétique et les enjeux historiographiques de la discipline. Elle s’intéresse aux conceptions du monde entretenues par l’humain et à la manière dont elles investissent les œuvres et les écrits sur l’art.
***
Daniel Fiset est historien de l’art, éducateur et commissaire. Il termine actuellement un doctorat en histoire de l’art à l’Université de Montréal, où il a été chargé de cours. Dans ses recherches, subventionnées par le FQRSC et le CRSH, il analyse les points de contact entre pratiques artistiques contemporaines et culture visuelle par le biais des études technologiques, de la philosophie de la photographie et des études médiales. En parallèle, il travaille au sein de DHC/ART Éducation depuis 2011, où il collabore à l’élaboration du programme éducatif et public.
***
Hubert G. Alain a récemment terminé une maîtrise dans le département d’Histoire de l’Art et Études des Communications à l’Université McGill. Chercheur pour la Chair de Recherche Canadienne en Citoyenneté et Technologie, son travail se penche sur le nouveau matérialisme, les écologies trans-espèces, la résilience matérialiste, et les politiques alternatives communautaires. Son travail tente de déconstruire les discours entourant la crise climatique, les extinctions massives et l’Anthropocène, afin de dénoncer ses liens récurrents avec les logiques trop familières du néolibéralisme, du colonialisme, et du capitalisme extractiviste. Fort défendeur de la résistance quotidienne, Hubert est également jardinier, cuisinier et hacker-maker amateur, collaborant avec divers organisme Montréalais, dont aucun ne sont seulement humain. Il a publié chez Lapsus, Journal of Cultural Studies, et Green Humanities, en plus de participer à Philopolis et les symposiums Apocalypse and Alternatives, à l’Université Concordia, et Human : Race, à l’Université York. Peut-être verrez-vous bientôt émerger son blog Criticallama depuis wordpress, sans promesses.
***
Charlotte Lalou Rousseau est une commissaire logophile originaire de Montréal. Après avoir complété un baccalauréat en histoire de l’art à l’Université de Montréal, elle a co-fondé le webzine artistique et littéraire le nœud en 2012. Sa formation, son expérience dans le commerce de l’art contemporain et ses récents vols transatlantiques informent son intérêt pour les relations entre le fond et la forme; leur réconciliation est une lutte constante.
Rousseau a abordé des questions de distance et de dislocation dans ses deux plus récentes expositions, How far is here (MAGO, Eidsvoll Verk, Norvège) et the distance between nowhere and now here (Blackwood Gallery, U of T Mississauga, ON). Elle a écrit pour Oblio (Ed. Elisa Rusca, Broken Dimanche Press, 2014), ainsi que Pica magazine, COVEN Berlin et le nœud. Elle termine présentement sa maîtrise en Curatorial Studies à l’Université de Toronto.
***
Thibault Jacquot-Paratte. Né en Nouvelle-Écosse de famille Franco-Suisse-acadienne. Voyage autant qu’il peut. Compulsif en musique et en écriture. Entre autant de voyages que possible, fait une licence en études nordiques à la Sorbonne. Présentement en trains de terminer sa première année de maîtrise à Tromsø, en Norvège.
***
Nadia Seraiocco est spécialiste du numérique, doctorante en communication et chargée de cours à l’École des médias de l’UQAM. Depuis 2002, elle anime son propre carnet, cheznadia.com, elle a collaboré quelques années au carnet techno de Radio-Canada, Triplex et elle livre des chroniques sur les arts numériques à l’émission La Sphère, sur Ici Première. Elle a aussi couvert les arts visuels pour l’hebdomadaire Voir – Québec (1998-2000) et collaboré à quelques publications de ce domaine, dont les magazines Inter Art Actuel et Parcours.
Autres publications :
Blanc, M. et Seraiocco, N.. 2010. Les médias sociaux 101. Édition Groupe Librex : Montréal.
Seraiocco, Nadia, « Au théâtre comme en ligne : créer et communiquer », Jeu, n° 153, 2014, p. 14-19.
Seraiocco, Nadia, « Raconter son histoire ou forger son mythe grâce aux médias sociaux. Munchauser, les machineries de l’imaginaire», Cahier d’automne Théâtre Denise-Pelletier, 2015, p. 31-32.
***
Eli Larin termine présentement son baccalauréat à l’UQAM avec une majeure en histoire de l’art et un certificat en communication. Elle entamera en septembre 2016 une maîtrise en histoire de l’art à Concordia. Elle est de plus une artiste médiatique occasionnelle, travaillant en photographie, vidéo et nouveaux médias. Ses domaines d’intérêt sont l’art internet et post-internet, ainsi que la performance du genre féminin dans ce nouvel espace public qu’est l’internet. Ses textes ont été publiés dans la revue Ex_situ et Yiara, et ses photographies dans le magazine Ciel Variable et le blogue d’esse.
Bibliographie
« La performance du genre dans l’art post-internet », Yiara magazine, volume 4, Concordia, Montréal, Mars 2016.
« Le poids de la performance du genre dans l’oeuvre d’Amalia Ulman », Le corps, Revue Ex_situ, numéro 25, UQAM, Montréal, Hiver 2016.
« Le Site-Specificity dans l’art actuel à la Biennale de Venise », Numéro Hors Série 56e Biennale de Venise, Revue Ex_situ, UQAM, Montréal, 6 pages, Automne 2015.
« Disparaître dans la nuit », galerie web et texte, blogue je suis féministe, collaboration spéciale avec HTMLLES, 17 novembre 2012. http://jesuisfeministe.com/?p=6148
***
Christian Gravel, originaire de Québec, vit et travaille maintenant à Montréal où il mène principalement une carrière de peintre.
En 2001, il termine son baccalauréat en arts visuels à l’Université Laval à Québec. Il entreprendra par la suite, en 2009, sa maîtrise en arts visuels avec mémoire.
Il fut également co-directeur de la galerie Rouje en 2007. Il a participé à plusieurs expositions collectives, entre autres l’exposition étudiante Peinture fraiche et nouvelle construction (2011), à Art Mûr à Montréal. Depuis quelques années, il est représenté par la galerie Lacerte Art contemporain où il réalise en 2013 sa première exposition solo. Son travail fait désormais partie de collections tant privées que publiques.
Cynthia Fecteau détient une maîtrise en arts visuels de l’Université Laval. Interpellée par les formes de connaissances sensibles en philosophie et en création, notamment les concepts d’écosophie, d’être-au-monde et de communauté, elle s’intéresse à leurs manifestations concrètes en arts actuels. Outre ses textes publiés dans Espace art actuel, ETC MEDIA, Zone Occupée et Le Sabord, elle a poursuivi ses recherches en écriture lors de résidences au Québec, en 2014, à LA CHAMBRE BLANCHE, et en France, auprès de la communauté de Saint-Mathieu, en 2015.