Philopolis 2017 Archives - Artichaut magazine

Articles de la catégorie Philopolis 2017 / page 1 de 1

Philopolis 2017 Théories & perspectives UQAM

08 juin 2017

par Artichaut magazine

La philosophie entre intuition et empirie: comment les études du texte peuvent contribuer à renouveler la réflexion philosophique

Louis Chartrand est candidat au doctorat en informatique cognitive à l’Université du Québec à Montréal, et chercheur au Laboratoire d’analyse cognitive de l’information (LANCI). Il étudie les méthodologies philosophiques, et les contributions que les nouvelles technologies peuvent y faire. «La …
Jeu vidéo Philopolis 2017 Théories & perspectives

06 juin 2017

par Artichaut magazine

Regard sur l’éthique féministe dans les jeux vidéo: pour une réappropriation de l’objet vidéoludique

Les quatre auteur.e.s (Alexis Berris, Roxanne Chartrand, Maxime Deslongchamps et Pascale Thériault) étudient le jeu vidéo à l’Université de Montréal, au département d’Histoire de l’art et d’études cinématographiques. Elles et ils sont organisat.eurs.trices du Groupe Féministe Vidéoludique, un groupe de …
Philopolis 2017 Théories & perspectives

24 avril 2017

par Artichaut magazine

La vérification par les faits : la post-vérité et Hannah Arendt

L’Artichaut se propose de publier les actes de colloque de certaines des présentations qui ont eu lieu lors de l’édition 2017 de Philopolis. Philopolis Montréal est un événement public dont l’objectif est de favoriser des échanges philosophiques entre le grand …

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Fragments de faux souvenirs
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Cinq pépites à découvrir dans le cadre du mois de la poésie
Une suite très attendue pour Camille Beauchamp
Entretien avec Marie-Christine Lemieux-Couture autour de son œuvre féministe fracassante
Solo : renaissance et paillettes (Sophie Dupuis)
Mise à nu
L’absurdité de la violence
Quand la soif détruit tout sur son passage
Suis-moi je te fuis, fuis-moi je te suis
Maquina : regard, désir, capital
Théâtre Prospero: La mouette, une envolée qui ose
Un roman à combustion lente
Mise en abyme dans « Le roman d’Isoline »
Conduire à sa perte : un monologue percutant sur la violence conjugale
Trois livres à dévorer pendant la relâche
La femme, une force de la nature
Le désir passé au peigne fin
Un confort doux-amer : Une critique de Voyages sans bagages de Tove Jansson
Un laissez-passer vers l’intimité
Cuisiner efficacement des soupers équilibrés, c’est possible!
L’univers éclaté de « Skate Park »
Quand un débat de société s’incruste au sein d’un thriller psychologique
Se frayer un chemin à travers le boys club
Du théâtre inclusif
Des vies chamboulées à tout jamais dans « Marguerite »
Échos et silences: une critique féministe intersectionnelle du collectif « Chambres fortes »
Écrire ce qu’on a le moins envie de dire
Une dystopie pas si lointaine
Recrutement 2024/2025 – Chef·fe·s des pupitres musique, théâtre, cinéma, arts visuels et danse
Une satire du milieu universitaire
Un retour aux sources dans Kanatuut
VER D’ENNUI – APPEL À CONTRIBUTIONS 2024
« Dessine Bandé. Une bande dessinée… sur le web. Et si je vous disais… Dessine Bandé. Une bande dessinée… sur papier[1]?» : Une critique de l’œuvre d’Alex Lévesque
La solitude dans le foyer familial
Un essai féministe qui appelle au changement
Mise en abîme dans le scénariste
Le calendrier de l’après
Une dystopie environnementale probable
Cold case des années 1970
Accepter l’autre, c’est faire preuve d’humanité
Coincé·e·s entre deux planètes
Une œuvre bienveillante pour traverser les moments difficiles
Carnet-refuge d’un papillon
Ce qui pousse en novembre : exploration florale du vivant et culture de l’hétéroclisme
Redonner la voix à celleux qui l’ont perdue trop tôt
Portraits diversifiés de la mort
Fenêtre sur la noirceur humaine
Fini le temps de se taire dans Porter plainte
Une nuit de tempête
À la découverte du projet étudiant Lire et délire !
Des histoires inexpliquées qui donnent froid dans le dos
Un théâtre contemporain digne de ce nom
Seule, même entourée
My body, my choice : une expression plus vraie que jamais
Exploration de la sexualité au féminin
Une impression d’invisibilité qui pousse à disparaitre
What we propose is not to create content, but to create context: Une critique de l’œuvre Les détectives du vivant de Renato Rodriguez-Lefebvre
Âmes sensibles s’abstenir
Un regard sur la vie après la mort
Des polars réservés à celleux qui n’ont pas froid aux yeux
Une trilogie charmante pour terminer l’été en beauté
12 suggestions pour le 12 août
Raconter l’amour filial
Main d’œuvre de Lorrie Jean-Louis : des psaumes ouvriers
Sentiments en éruption
Qui dit vrai?
Une expérimentation qui fait chou blanc
Perfectionner son corps pour (sur)vivre
L’absence du père
Trois suggestions coup de cœur pour le mois de la poésie
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Les petits démons dansants se reconnaissent-ils entre eux ?
Se souvenir est une fiction
Périple en quête de soi
Une exploration de l’univers de la consommation
Choisir de vivre autrement
Les éclaboussures de la violence
Un passage rocambolesque vers l’adulting
Le jeu de l’homme et de la souris : une critique de l’œuvre Les hôtes de Myriam Ouellette
S’éloigner pour mieux progresser
La brûlure du silence comme expression d’une nature double 
S’enfuir en douce
Deux familles anéanties
Éclat de conscience
Une deuxième oeuvre pour David Beaudoin
Quelques suggestions pour la Journée internationale des droits des femmes
Dépaysement teinté de rose : une critique de Quelqu’un a débranché la Grosse Pomme de Zovi
La poésie de Nutshimit – rencontre avec Joséphine Bacon à la soirée Amour
Ode au quartier Hochelaga
La métaphore du porc dans le camion
Le droit à un utérus libre
Un roman policier à la perspective féministe
Une toute nouvelle maison d’édition pour faire rayonner la culture
L’amour sous toutes ses coutures
Culpabilité religieuse et rave party : une critique de Rave de Jessica Campbell
« Von Westmount », une histoire de soumission et de pouvoir
Questionnements et contradictions dans « Trop de Pascale »
La consumation du deuil
Une vie bouleversée par la cécité
Plonger dans les réalités de la rue avec « Maple »
Errance et dégradation dans « Mon fils ne revint que sept jours »
Un destin c’est bien, mais deux c’est mieux
L’obtention du pardon, une épreuve aussi délicate qu’un songe
Sublimes sursauts de vie face à l’angoisse du monde dans « Je suis celle qui veut sauver sa peau »
Les chroniques engagées de la place Carrée
Périple au coeur de l’Inde et entretien avec Val-Bleu
Une nouvelle édition pour « 1984 »
Au nord d’Albany : prendre la fuite
À la rencontre d’Alicia Guillotte alias La Guillotta
Le chaos de Mercure en rétrograde
One hundred more/ crédit photo : Gianmarco Bresadola
One Hundred More
Les sujets délicats de Marianne Brisebois
La douceur de la guérison
Dérives: quelque part entre l’intime et le politique
Que le fan soit avec toi : pas n’importe quel fan
Falcon Lake : inquiétante adolescence
Viking : Quand Mars s’invite sur terre
La résilience des allongées
Je vous salue salope : la cyberviolence envers les femmes
Une oeuvre qui met le doigt sur le bobo
Fire of Love : d’amour et de volcans
Un désordre poétique
La douceur de l’amour en fragments
Jardin radio : Les voix du corps
Les limites du tangible : First layers
Gabor : l’humain d’abord
Adieu triste amour
En juin: Je lis autochtone!
Parader les imaginaires mobiles : Make Banana Cry
Tënk : la plateforme et son escale dans le féministe des années 1970 à 1990
Sensations en tresse : Invisible d’Aurélie Pedron
Il faut s’aider à naître : Lavagem d’Alice Ripoll
Tendre et saignant : À peine regardé et déjà oublié
De la généreuse ambiguïté : High Bed Lower Castle
Sacrer / documentation de Do Phan Hoi
Sacrer la rue : Une proposition de Katya Montaignac à l’Agora de la danse
Pink Lake : regard intime sur le cinéma anglophone québécois
Un premier roman loin d’être lamentable
Fragile & Useless : Mille ardeurs, mille accalmies
L’équipe de l’Artichaut vous partage ses coups de coeur pour le mois de la poésie.
Manifestement / Enora Rivière
Manifestement : corps-mirage, vulnérabilité et politique
Bagne bagne bagne. De la figure abimée de l’ancien boxeur au braquage caractéristique du cinéma noir
Les jeux du crépuscule : de solitude à sollicitude
Personne n’est à l’abri d’un match toxique
Les Éditions du Drame
Oser une rencontre avec son protagoniste
If nothing matters & Please be soft. Une douce fin du monde
Je prends feu trop souvent. Roman graphique de l’intime
Épidermes. Toucher la diversité de la corporéité et des états d’âme
Une vague de douceur signée Catherine Ocelot
E X T A S E · Appel à contributions · 11e numéro papier
Cruelles. Une pluralité de plumes pour éventrer les représentations binaires et traditionnelles de la violence
La Vingt. Une première bande dessinée mature explorant le passé et la tradition du médium
La bande dessinée Aliss. Une adaptation réussie pour souligner les deux décennies d’un classique de l’horreur québécois
Ouvrir le dialogue sur Picasso : les musées vers plus de transparence?
Cadrer la nature : la poésie inhérente de la nature
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Temps libre. Toute la précarité derrière la création d’une oeuvre d’art
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Red light, café irlandais et la menace de l’éternel retour : entrevue avec Catherine Côté, auteure de Brébeuf
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L’anxiété en apesanteur. Couverture de Planétarium 2.0
Une sortie dans le confort de chez soi: critique de Fairfly pour emporter
«Crazy together»: horreur, trauma et nostalgie dans It et Stranger Things (2)
«Crazy together»: horreur, trauma et nostalgie dans It et Stranger Things (1)
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Wendy: Puissance et authenticité de l’émotion chez les jeunes adultes
The Walking Dead et la viande infect(é)e: carnisme zombie, animaux non humains et alimentation réfléchie dans l’univers de Robert Kirkman
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Stalkeuses: petits plaisirs (coupables) en solitaire
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La couverture montrant l’apparence lézardée de la narratrice. Source: Les libraires
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Entre autofiction et épanchement : à la rencontre du collectif Les Intimistes
Strindberg: résister à la misogynie
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ART, HUMOUR ET POLITIQUE | Appel à collaborations
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Jardin radio : Les voix du corps
Les limites du tangible : First layers
Gabor : l’humain d’abord
Adieu triste amour
En juin: Je lis autochtone!
Parader les imaginaires mobiles : Make Banana Cry
Tënk : la plateforme et son escale dans le féministe des années 1970 à 1990
Sensations en tresse : Invisible d’Aurélie Pedron
Il faut s’aider à naître : Lavagem d’Alice Ripoll
Tendre et saignant : À peine regardé et déjà oublié
De la généreuse ambiguïté : High Bed Lower Castle
Sacrer / documentation de Do Phan Hoi
Sacrer la rue : Une proposition de Katya Montaignac à l’Agora de la danse
Pink Lake : regard intime sur le cinéma anglophone québécois
Un premier roman loin d’être lamentable
Fragile & Useless : Mille ardeurs, mille accalmies
L’équipe de l’Artichaut vous partage ses coups de coeur pour le mois de la poésie.
Manifestement / Enora Rivière
Manifestement : corps-mirage, vulnérabilité et politique
Bagne bagne bagne. De la figure abimée de l’ancien boxeur au braquage caractéristique du cinéma noir
Les jeux du crépuscule : de solitude à sollicitude
Personne n’est à l’abri d’un match toxique
Les Éditions du Drame
Oser une rencontre avec son protagoniste
If nothing matters & Please be soft. Une douce fin du monde
Je prends feu trop souvent. Roman graphique de l’intime
Épidermes. Toucher la diversité de la corporéité et des états d’âme
Une vague de douceur signée Catherine Ocelot
E X T A S E · Appel à contributions · 11e numéro papier
Cruelles. Une pluralité de plumes pour éventrer les représentations binaires et traditionnelles de la violence
La Vingt. Une première bande dessinée mature explorant le passé et la tradition du médium
La bande dessinée Aliss. Une adaptation réussie pour souligner les deux décennies d’un classique de l’horreur québécois
Ouvrir le dialogue sur Picasso : les musées vers plus de transparence?
Cadrer la nature : la poésie inhérente de la nature
Le Répondant, entre libertés et contraintes: entrevue avec le collectif Marion Lessard
Mon année Salinger de Philippe Falardeau : victime de son côté fleur bleue
Okinum: les barrages de la survivance
Temps libre. Toute la précarité derrière la création d’une oeuvre d’art
«Songs don’t lie»: Stranger Things et la musique comme vecteur de la rétromanie télévisuelle
Corps (non-)humains à l’œuvre dans Canary: lecture écopoétique d’une pièce du festival Eco-Anxiety
Red light, café irlandais et la menace de l’éternel retour : entrevue avec Catherine Côté, auteure de Brébeuf
Lullaby for Outrage : Un premier album pour le trio AUT
L’anxiété en apesanteur. Couverture de Planétarium 2.0
Une sortie dans le confort de chez soi: critique de Fairfly pour emporter
«Crazy together»: horreur, trauma et nostalgie dans It et Stranger Things (2)
«Crazy together»: horreur, trauma et nostalgie dans It et Stranger Things (1)
Solos solidaires : une série virtuelle qui nous transporte au coeur de l’univers créatif de neuf artistes montréalais·es· Entrevue avec Valérie Lacombe.
Entrevue avec Mathieu Murphy-Perron, écrivain et metteur en scène d’En pointe: du théâtre bilingue dans Pointe-saint-Charles pour contrer l’isolement
FANTASIA 2020, PREMIÈRE PARTIE
Donner la vie, donner sa vie: le legs de la mère féministe dans De rivières de Vanessa Bell
Wendy: Puissance et authenticité de l’émotion chez les jeunes adultes
The Walking Dead et la viande infect(é)e: carnisme zombie, animaux non humains et alimentation réfléchie dans l’univers de Robert Kirkman
Des plantes gardées pour un climat en crise
Stalkeuses: petits plaisirs (coupables) en solitaire
NoirEs sous surveillance: Lever le voile du multiculturalisme
La couverture montrant l’apparence lézardée de la narratrice. Source: Les libraires
Se transcender dans l’éclatant et illusoire Roux clair naturel
Quadriptyque, ou l’ouverture des horizons chorégraphiques
Entre autofiction et épanchement : à la rencontre du collectif Les Intimistes
Strindberg: résister à la misogynie
Je suis un homme
THREAD/BARE: la nudité intérieure
Entretien avec Gabriel Proulx-Kunst
La Otra Orilla: lorsque le politique déborde sur le poétique
Festival d’art contemporain émergent: une 7e édition prometteuse
Un film sur papier : Une critique d’Au travers du rayon d’Aude Bertrand
Une ville aux lourds secrets
Plongeon au cœur d’un monde mythique
La chose-en-soi: la violence et l’intimité d’un ring de boxe
Danses Buissonnières : fuir la contrainte
Quand la soif assombrit tout
Imaginer le monde qu’on nous a volé
Lecture de Vandalisme queer de Sara Ahmed, ou mise en garde contre la victimisation
Generating Dance: ode au pouvoir de la danse
12 suggestions pour le 12 août
Créer, c’est risquer de se perdre dans l’art
Fragments de faux souvenirs
Une superbe première bande dessinée pour Maude Roberto
Cinq pépites à découvrir dans le cadre du mois de la poésie
Une suite très attendue pour Camille Beauchamp
Entretien avec Marie-Christine Lemieux-Couture autour de son œuvre féministe fracassante
Solo : renaissance et paillettes (Sophie Dupuis)
Mise à nu
L’absurdité de la violence
Quand la soif détruit tout sur son passage
Suis-moi je te fuis, fuis-moi je te suis
Maquina : regard, désir, capital
Théâtre Prospero: La mouette, une envolée qui ose
Un roman à combustion lente
Mise en abyme dans « Le roman d’Isoline »
Conduire à sa perte : un monologue percutant sur la violence conjugale
Trois livres à dévorer pendant la relâche
La femme, une force de la nature
Le désir passé au peigne fin
Un confort doux-amer : Une critique de Voyages sans bagages de Tove Jansson
Un laissez-passer vers l’intimité
Cuisiner efficacement des soupers équilibrés, c’est possible!
L’univers éclaté de « Skate Park »
Quand un débat de société s’incruste au sein d’un thriller psychologique
Se frayer un chemin à travers le boys club
Du théâtre inclusif
Des vies chamboulées à tout jamais dans « Marguerite »
Échos et silences: une critique féministe intersectionnelle du collectif « Chambres fortes »
Écrire ce qu’on a le moins envie de dire
Une dystopie pas si lointaine
Recrutement 2024/2025 – Chef·fe·s des pupitres musique, théâtre, cinéma, arts visuels et danse
Une satire du milieu universitaire
Un retour aux sources dans Kanatuut
VER D’ENNUI – APPEL À CONTRIBUTIONS 2024
« Dessine Bandé. Une bande dessinée… sur le web. Et si je vous disais… Dessine Bandé. Une bande dessinée… sur papier[1]?» : Une critique de l’œuvre d’Alex Lévesque
La solitude dans le foyer familial
Un essai féministe qui appelle au changement
Mise en abîme dans le scénariste
Le calendrier de l’après
Une dystopie environnementale probable
Cold case des années 1970
Accepter l’autre, c’est faire preuve d’humanité
Coincé·e·s entre deux planètes
Une œuvre bienveillante pour traverser les moments difficiles
Carnet-refuge d’un papillon
Ce qui pousse en novembre : exploration florale du vivant et culture de l’hétéroclisme
Redonner la voix à celleux qui l’ont perdue trop tôt
Portraits diversifiés de la mort
Fenêtre sur la noirceur humaine
Fini le temps de se taire dans Porter plainte
Une nuit de tempête
À la découverte du projet étudiant Lire et délire !
Des histoires inexpliquées qui donnent froid dans le dos
Un théâtre contemporain digne de ce nom
Seule, même entourée
My body, my choice : une expression plus vraie que jamais
Exploration de la sexualité au féminin
Une impression d’invisibilité qui pousse à disparaitre
What we propose is not to create content, but to create context: Une critique de l’œuvre Les détectives du vivant de Renato Rodriguez-Lefebvre
Âmes sensibles s’abstenir
Un regard sur la vie après la mort
Des polars réservés à celleux qui n’ont pas froid aux yeux
Une trilogie charmante pour terminer l’été en beauté
12 suggestions pour le 12 août
Raconter l’amour filial
Main d’œuvre de Lorrie Jean-Louis : des psaumes ouvriers
Sentiments en éruption
Qui dit vrai?
Une expérimentation qui fait chou blanc
Perfectionner son corps pour (sur)vivre
L’absence du père
Trois suggestions coup de cœur pour le mois de la poésie
Be Heintzman Hope: danser dans la blessure | panser l’autodestruction
Les petits démons dansants se reconnaissent-ils entre eux ?
Se souvenir est une fiction
Périple en quête de soi
Une exploration de l’univers de la consommation
Choisir de vivre autrement
Les éclaboussures de la violence
Un passage rocambolesque vers l’adulting
Le jeu de l’homme et de la souris : une critique de l’œuvre Les hôtes de Myriam Ouellette
S’éloigner pour mieux progresser
La brûlure du silence comme expression d’une nature double 
S’enfuir en douce
Deux familles anéanties
Éclat de conscience
Une deuxième oeuvre pour David Beaudoin
Quelques suggestions pour la Journée internationale des droits des femmes
Dépaysement teinté de rose : une critique de Quelqu’un a débranché la Grosse Pomme de Zovi
La poésie de Nutshimit – rencontre avec Joséphine Bacon à la soirée Amour
Ode au quartier Hochelaga
La métaphore du porc dans le camion
Le droit à un utérus libre
Un roman policier à la perspective féministe
Une toute nouvelle maison d’édition pour faire rayonner la culture
L’amour sous toutes ses coutures
Culpabilité religieuse et rave party : une critique de Rave de Jessica Campbell
« Von Westmount », une histoire de soumission et de pouvoir
Questionnements et contradictions dans « Trop de Pascale »
La consumation du deuil
Une vie bouleversée par la cécité
Plonger dans les réalités de la rue avec « Maple »
Errance et dégradation dans « Mon fils ne revint que sept jours »
Un destin c’est bien, mais deux c’est mieux
L’obtention du pardon, une épreuve aussi délicate qu’un songe
Sublimes sursauts de vie face à l’angoisse du monde dans « Je suis celle qui veut sauver sa peau »
Les chroniques engagées de la place Carrée
Périple au coeur de l’Inde et entretien avec Val-Bleu
Une nouvelle édition pour « 1984 »
Au nord d’Albany : prendre la fuite
À la rencontre d’Alicia Guillotte alias La Guillotta
Le chaos de Mercure en rétrograde
One hundred more/ crédit photo : Gianmarco Bresadola
One Hundred More
Les sujets délicats de Marianne Brisebois
La douceur de la guérison
Dérives: quelque part entre l’intime et le politique
Que le fan soit avec toi : pas n’importe quel fan
Falcon Lake : inquiétante adolescence
Viking : Quand Mars s’invite sur terre
La résilience des allongées
Je vous salue salope : la cyberviolence envers les femmes
Une oeuvre qui met le doigt sur le bobo
Fire of Love : d’amour et de volcans
Un désordre poétique
La douceur de l’amour en fragments
Jardin radio : Les voix du corps
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Gabor : l’humain d’abord
Adieu triste amour
En juin: Je lis autochtone!
Parader les imaginaires mobiles : Make Banana Cry
Tënk : la plateforme et son escale dans le féministe des années 1970 à 1990
Sensations en tresse : Invisible d’Aurélie Pedron
Il faut s’aider à naître : Lavagem d’Alice Ripoll
Tendre et saignant : À peine regardé et déjà oublié
De la généreuse ambiguïté : High Bed Lower Castle
Sacrer / documentation de Do Phan Hoi
Sacrer la rue : Une proposition de Katya Montaignac à l’Agora de la danse
Pink Lake : regard intime sur le cinéma anglophone québécois
Un premier roman loin d’être lamentable
Fragile & Useless : Mille ardeurs, mille accalmies
L’équipe de l’Artichaut vous partage ses coups de coeur pour le mois de la poésie.
Manifestement / Enora Rivière
Manifestement : corps-mirage, vulnérabilité et politique
Bagne bagne bagne. De la figure abimée de l’ancien boxeur au braquage caractéristique du cinéma noir
Les jeux du crépuscule : de solitude à sollicitude
Personne n’est à l’abri d’un match toxique
Les Éditions du Drame
Oser une rencontre avec son protagoniste
If nothing matters & Please be soft. Une douce fin du monde
Je prends feu trop souvent. Roman graphique de l’intime
Épidermes. Toucher la diversité de la corporéité et des états d’âme
Une vague de douceur signée Catherine Ocelot
E X T A S E · Appel à contributions · 11e numéro papier
Cruelles. Une pluralité de plumes pour éventrer les représentations binaires et traditionnelles de la violence
La Vingt. Une première bande dessinée mature explorant le passé et la tradition du médium
La bande dessinée Aliss. Une adaptation réussie pour souligner les deux décennies d’un classique de l’horreur québécois
Ouvrir le dialogue sur Picasso : les musées vers plus de transparence?
Cadrer la nature : la poésie inhérente de la nature
Le Répondant, entre libertés et contraintes: entrevue avec le collectif Marion Lessard
Mon année Salinger de Philippe Falardeau : victime de son côté fleur bleue
Okinum: les barrages de la survivance
Temps libre. Toute la précarité derrière la création d’une oeuvre d’art
«Songs don’t lie»: Stranger Things et la musique comme vecteur de la rétromanie télévisuelle
Corps (non-)humains à l’œuvre dans Canary: lecture écopoétique d’une pièce du festival Eco-Anxiety
Red light, café irlandais et la menace de l’éternel retour : entrevue avec Catherine Côté, auteure de Brébeuf
Lullaby for Outrage : Un premier album pour le trio AUT
L’anxiété en apesanteur. Couverture de Planétarium 2.0
Une sortie dans le confort de chez soi: critique de Fairfly pour emporter
«Crazy together»: horreur, trauma et nostalgie dans It et Stranger Things (2)
«Crazy together»: horreur, trauma et nostalgie dans It et Stranger Things (1)
Solos solidaires : une série virtuelle qui nous transporte au coeur de l’univers créatif de neuf artistes montréalais·es· Entrevue avec Valérie Lacombe.
Entrevue avec Mathieu Murphy-Perron, écrivain et metteur en scène d’En pointe: du théâtre bilingue dans Pointe-saint-Charles pour contrer l’isolement
FANTASIA 2020, PREMIÈRE PARTIE
Donner la vie, donner sa vie: le legs de la mère féministe dans De rivières de Vanessa Bell
Wendy: Puissance et authenticité de l’émotion chez les jeunes adultes
The Walking Dead et la viande infect(é)e: carnisme zombie, animaux non humains et alimentation réfléchie dans l’univers de Robert Kirkman
Des plantes gardées pour un climat en crise
Stalkeuses: petits plaisirs (coupables) en solitaire
NoirEs sous surveillance: Lever le voile du multiculturalisme
La couverture montrant l’apparence lézardée de la narratrice. Source: Les libraires
Se transcender dans l’éclatant et illusoire Roux clair naturel
Quadriptyque, ou l’ouverture des horizons chorégraphiques
Entre autofiction et épanchement : à la rencontre du collectif Les Intimistes
Strindberg: résister à la misogynie
Festival BD de Montréal. Heureuse conclusion du mois de la bande dessinée