Thomas Dupont-Buist

Jadis sous les projecteurs, il lui aura fallu un certain temps pour se rendre compte que l’on était finalement bien mieux parmi le public, à regarder le talent s’épanouir. Un chantre des arts de la scène qui aime se dire que la vie ne prend tout son sens que lorsqu’elle a été écrite.

Lire au pluriel. L’insoutenable légèreté de l’être de Milan Kundera

« Pour Tereza, le livre était le signe de reconnaissance d’une fraternité secrète. Contre le monde de la grossièreté qui l’entourait,…

La fleur parmi les décombres. L’architecture de la paix d’Evelyne de la Chenelière

Quand hommes et femmes sont brisés, pierres, métaux et bois n’aident en rien à leur reconstruction. Les ruines de l’âme…

Comme un créationniste devant le Big Bang. Organon de Parapolik Guérilla Théâtre

Organon avait un but fort ambitieux: celui de nous présenter une autre version de la genèse de notre monde. Rien de…

Les jeunes, Hugo et la dignité des pauvres. Marie Tudor de Victor Hugo

Depuis ma lecture des Misérables, j’ai soif de tout ce qu’a pu écrire Victor Hugo, ce monstre sacré des lettres…

Théâtre et hypocrisie. Le carrousel de Jennifer Tremblay

Voilà une chose bien étrange que le milieu théâtral québécois. Ces trois dernières années, j’aurai été aux premières loges pour…

Oiseaux explorateurs et adhésion mécanique. Les oiseaux mécaniques du Bureau de l’APA

Plus le temps passe et plus je me rends compte que mes goûts, en matière de théâtre, sont assez conservateurs.…

La tradition revue et corrigée. Contes urbains de six jeunes auteurs dramatiques

S’il y a une seule production théâtrale à ne pas rater en décembre, c’est bien les Contes urbains. Je ne…

Apocalypse solaire et délires monétaires. Viande à chien de Frédéric Dubois, Jonathan Gagnon et Alexis Martin

Alors que les pièces sur les déboires capitalistes se multiplient, Viande à chien joint sa voix aux récentes productions que…

L’esprit de clan. Orphelins de Dennis Kelly

«Pour eux, le clan familial constituait la limite même de leur socialisation. Ce n’est pas pour rien que dans presque…

L’amour au temps du terrorisme. II (deux) de Mansel Robinson

On a déjà abondamment traité de la peur de l’autre au théâtre. Là où II (deux) se distingue des autres…